Un "beau mec", Antonio Ferrara... enfermé
Frédéric Ploquin, dans sa trilogie Parrains & caïds, présente plusieurs fois Antonio Ferrara dit Nino tel un "beau mec".
Cette expression recouvre, en langage policier, un homme courtois, qui ne lâche rien ni personne, qui accepte son sort une fois pris mais ne renonce pas à une "belle".
Faut-il cependant l'isoler en détention ? Pas sûr.
L'humanité de la peine doit être un parti pris, une orientation nécessaire qui permet d'asseoir la sanction comme rédemption possible.
Il n'est pas besoin de s'acharner sur lui, sur un homme.
Justice n'est pas vengeance de l'Etat.
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