Plus dure sera la chute, ou la politique comme terre nourricière de la lutte, par LSR
La situation est désespérée… mais bien moins que demain. La médiocrité de la plupart de « nos » plus « hauts » représentants est déconcertante à plus d’un titre. Leurs actes sont régis par la peur. Leur autonomie est circonscrite au ficelage de la technicité juridique européenne. La seule clef où ils gardent à peu près la main, c’est-à-dire la communication, paraît au grand jour aux populations pour ce qu’elle est : un leurre. Enfin, leurs tribulations partisanes faites de polémiques stériles en temps de guerre nous rappellent les heures de décadence les plus noires de notre pays. Une fois que nous avons noté tout cela, notre propre responsabilité publique et collective, en tant que peuple, nous renvoie aux marécages de nos pulsions de retrait. Nous avons cédé au repli, nous avons prêché – au choix - l’insubordination, la sécession, mais aussi à la seule critique non-participative. En effet, que dire, que faire dans des temps politiques mêlant circonvolutions et irrésolutio