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Affichage des articles du juillet, 2019

Lukacs explique la décadence, par Raoul Bidard

De la créature évoquée & de  quelques causes " sociétales " justifiant de lire Xénophon Dim 26/05/2019 16:55 à SP Cher S., Avec mes remerciements pour ton explication qui va dans le sens de mes hypothèses instinctives, voici quelque élément prompt à insuffler controverses, bien que je demeure à la surface des choses. J’écris ces présentes lignes liminaires alors que j’établissais tranquillement ma petite réflexion en suite de ton mél de vendredi qui narrait la créature, tout en répondant à ta question sur Xénophon. Cela m’a inspiré, tu me le pardonneras, la longueur de ce qui suit. Ma prolixité n’a d’égale que l’importance du tour pris menaçant de la guerre à venir qui se déniche aussi dans les atours féminins. *** {De la créature en général & des offices politiques sui generis. } Nous le savions, l’enfant-roi qui plus est consommateur est devenu un tyran de la quotidienneté. Dans sa famille, à l’école, au bureau et à l’usine (

Une militante CGT insipide qui rattrape toujours les indociles

Proposition d’action. Quelle triste situation, quelle société désespérément oublieuse des principes a minima juridico-républicains sous l’ère du macronisme  ! Nous vivons une très sale époque sociale-historique ! Les temps maudits arriveraient-ils à grand pas ? Ton idée de vendredi, Zaël, de te prendre des tartes seule en tête de cortège ne me plaît guère en raison des dangers de blessures, des risques réelles pour ta santé. En effet, la police n’est plus guère «  républicaine  » de nos jours ; elle frappe parce qu’elle a peur ; elle frappe parce qu’elle n’est plus formée et demeure mal dotée. «  Services publiques  », qu’ils disaient ! Pire, la police des renseignements infiltre la CGT, laquelle est si heureuse de délivrer des informations contre tous les «  ennemis intérieurs  ». Les bureaucrates de Melun et Paris n’ont rien d’autre à fiche. Ils sont payés pour… Les ennemis intérieurs , qui sont-ils ? Assurément, ce sont tous les critiques, les besogneux de