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Affichage des articles du mars, 2013

The Sarkus Show must go on, by Patrice

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 Une petite, pour la route ! Par Patrice C. Sarkozy ne se rase plus qu'un jour sur trois. Stallone l'avait fait avant lui, c'est ce qui a inspiré Johnny. Al Pacino l'a fait aussi. En voulant se faire la gueule à Pacino, Sarko ressemble à Johnny En voulant se faire la gueule à Stallone, Johnny ressemble à Ribéry ! Résultat : Sarkozy ressemble à Ribéry ! http://atelierserpentrouge.blogspot.fr/2013/01/la-trahison-est-naturelle-dans-un.html

Presse activiste pour N. Sarkozy & Manif ostracisée, Par Patrice C.

La presse réagit à la page Face book de Nicolas Sarkozy ! par Patrice C.   La presse réagit. En voilà une info !   D'abord, la presse réagit. Il y a là, déjà, une information. Donc, la presse vit, elle respire, voire elle réagit... Vaste programme ! Bon, on peut espérer quelque chose, même sans intérêt, mais au moins la presse n'est pas totalement morte.   Ensuite, elle réagit... à la page Face book !   On peut se demander pourquoi et est-ce bien normal, intéressant, conseillé par l'éthique journalistique ? La presse vient donc et y compris, s'abreuver à un site sociétal dont chacun sait ce que cela vaut et peut rapporter... S'agissant de la presse qui réagit, on peut se demander s'il s'agit d'un sursaut de vie ou d'une injection de n'importe quoi et à quoi cela est destiné et sert-il ?   Puis il est question de Nicolas Sarkozy. Là aussi, vaste programme... Un ex mis en examen et potentiellement accusé de toutes le

Déliquescence de l'Etat, par Patrice C.

L’incompétence des Etats, par Patrice C.   Aujourd’hui, les Etats passent le plus clair de leur temps (le temps qui n’est pas clair n’étant pas connu) à prouver leur incompétence à force de vouloir prouver leurs compétences. Adossés au mur de leur légitimité, ils décorent leur justification de parures symboliques et démonstratives. Leurs mandants exigeant (légitimement) des explications, les voici contraints d’administrer la preuve de leur légitimité et de leur compétence. Les exigences du peuple étant spontanées, immédiates et incontournables sous peine de renvoi à leurs chères études, il leur faut se présenter sous des habits de lumière à bon marché. Alors on se démène, on affiche car il faut exister dans l’urgence. On saupoudre, on arrose large et on met en branle le théâtre de carton-pâte qui occupe l’espace (médiatique), on pare au plus pressé. Dans l’urgence, on est que démonstratif, pas curatif. Mais qu’importe, l’essentiel est éphémère donc suffisant. On étiquette,

Bruxelles braque Chypre, par Patrice C.

Bruxelles braque Chypre Patrice C. Pris la main dans le sac, la commission de Bruxelles ne peut nier son hold-up sur les économies des Chypriotes. Bien qu'inexistante au plan politique, économique et militaire, l'Europe n'en continue pas moins d'être active sur le plan financier, cela au détriment de ses ressortissants. Face à la situation économique de l'île de la Méditerranée, l'institution européenne agit à distance et subrepticement envers les Chypriotes en prélevant son dû sur les comptes courants et de dépôts afin — dit-elle — de sauver la situation de l'île alors qu'un nouveau gouvernement vient d'y être élu. Il s'agit de pas moins de 10 milliards d'euros que Bruxelles soustraie ainsi et sans leur demander leur avis, ni même les prévenir, aux habitants de l'île. On savait depuis le début que cette association européenne était avant tout basée sur l'entente des banques et de la finance. On se trouve aujourd'h

Chagall, de vie & de mort, par Patrice C.

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Chagall, de vie et de mort Patrice C. Attention, l'expo de Chagall parle à vos sens, au tréfonds de votre personnalité, à la partie la plus subjective de votre moi. Ici, pas de dissertation sur l'art, sa composition, ses formes. L'oeuvre vous couvre, vous absorbe, vous pénètre. Subrepticement, mais avec une violence que vous ne découvrirez que plus tard, Chagall s'impose à vous. On ne ressort pas indemne. Ce ne sont pas tant les aplats de couleur que les formes qui vous submergent, c'est l'essence même de l'oeuvre qui vous vampirise. Divisée en autant de parties que le fut la vie de l'artiste, à l’exception regrettable de la période cubiste mais l’expo s’intitule « Chagall, une vie entre guerre et paix », chaque salle est donc dédiée à un thème fort en émotions. On aurait pu également ajouter « et amour » tant la présence de sa première femme est écrasante aussi bien dans l’œuvre que dans la vie de l’artiste. Le déroulé n'a rie