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Affichage des articles du juin, 2013

Christine Lagarde en bas..., par Patrice C. (réaction à la missive échue à Nicolas S.)

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[Patrice réagit sur la politique du bas de Christine envers son maître Nicolas; voir : http://atelierserpentrouge.blogspot.fr/2013/06/utilise-moi-par-soumise-christine-l.html ]   Mon ami, Nous voici sur des chemins de traverse de la politique. Ceux-ci ne peuvent me laisser indifférent bien que menant là où en principe on ne rencontre pas l'esprit. On passe à un autre registre des affaires politiques : celles des bas résilles et des tenues SM nécessaires pour satisfaire un besoin devenu à l'évidence vital. La politique contemporaine nous entraîne dans les alcôves du pouvoir. Après la médiatisation et la pipolisation de la vie publique, on en arrive, les degrés étant escaladés à vive allure, à la conclusion, à l'estocade. On en revient à la soumission courtisane et très intéressée d'une admiratrice servile prête à tout pour que ses relations avec le "maître" se passent selon ses désirs les plus ardents. Diable ou Mme de Maintenon ? La Paul

"Utilise-moi...", par Soumise Christine L.

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L'ancienne ministre de l'économie de François Fillon et actuelle directrice du FMI, Christine Lagarde, a été auditionnée le 23 mai par la Cour de justice de la République dans l'affaire Tapie-Lagarde concernant l’arbitrage orchestré en faveur du premier. Le 20 mars dernier, lors d’une perquisition à son domicile parisien, les enquêteurs ont trouvé une lettre manuscrite, non datée, destinée à Nicolas Sarkozy, dont la teneur mérite de figurer par ici après sa parution dans le quotidien Le Monde . Un lecteur scrupuleux, ignorant le destinataire & le scripturaire, & nonobstant la première sentence évoquant (t)es « projets pour la France », pourrait imaginer une missive d’une personne soumise (ministre, "serviteur", ne l'oublions pas) à son maître en bondage et autres activités sadomasochistes tout de cuir vêtue. C’est hilarant. Ou la servitude politique jusqu'à la contrition quasi physique... Le pouvoir s’insère-t-il dans une discipline partisane d

L'extrême-gauche n'existe pas, par Patrice C.

L’extrême-gauche n’existe pas Patrice C.   Contrairement à l’extrême droite qui a été au pouvoir dans quelques pays (Allemagne nazie, Italie fasciste, Chili, Argentine, Espagne franquiste, Grèce des colonels…) et a ainsi mis en application ses théories sur le conservatisme, la religion, la possession, la morale, et donnée des preuves de son existence, l’extrême-gauche n’a jamais eu cette occasion. Les seules politiques de gauche qui ont trouvé à s’exprimer ne portaient d’ailleurs pas le nom d’extrême. Le socialisme, le communisme, voire l’anarchisme, sont des théories politiques reconnues comme telles et leurs idéologies respectives peuvent et ont été appliquées avec plus ou moins de bonheur et de durée avant de retourner dans le giron initial du communisme. En aucun cas, les politiques de gauche n’ont générées d’appendices autonomes à leur extrémité. Alors que les théories politiques de droite ne se sont que légèrement infléchies sur leur gauche (centrisme), elles ont pa

J'en peux plus (et vous ?), par Patrice C.

J’en peux plus (*) Patrice C.   Trop, c’est trop ! Arrêtez tout ! Arrêtez l’hypocrisie institutionnalisée, officialisée, validée, consensuelle. Arrêtez les conseils, les consultants, les experts, les faire-valoir, les egos surdimensionnés, les paranoïas, les prima dona , les passeurs de plats (la presse), les cracheurs de feu (à droite), les pisse-froid (à « gôche »), les débats (d’avance) stériles, viciés, habités. Mais où est donc le bon sens ? Le nécessaire, l’utile, l’agréable ? Je n’irais pas jusqu’à la pensée profonde, construite, analytique. Juste le quotidien, le pratique, ce qui justement semble échapper à l’époque de plus en plus incongrue, abstraite, superfétatoire. Mais où sont les valeurs ? On joue à quoi ? De crédibilité et de référent il n’y a plus. La chose est entendue, les politiques sont vérolé-e-s, moisi-e-s, discrédité-e-s, cramé-e-s, vermoulu-e-s. Mais ils nous baladent, ils font notre vie, nous la confectionnent sur mesure, à leurs mesures ! L’hu

Lettre ouverte aux Ed. FOLIO-GALLIMARD, par Patrice C.

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Patrice C. 36, quai des Horlogers, 00000 Adresse inconnue pour le lecteur France, pays des lecteurs non réifiés   Lettre ouverte à Monsieur le Directeur XXX des Editions Folio-Gallimard Paris   le 20 avril 2013.   Monsieur, Célinien convaincu à dix-huit ans et avéré depuis, j’avais décidé de relire le Voyage au bout de la nuit , chose qui ne m’était pas arrivée depuis au moins vingt ans. N’en disposant plus, car en ayant distribué plusieurs au cours de ma vie, j’acquiers donc l’œuvre dans la version que vous proposez aujourd’hui. Quelle ne fut pas ma surprise de constater, une fois rentré chez moi, que le livre n’avait plus l’épaisseur que je connaissais. J’en comprenais très rapidement la raison : pour gagner en pagination, vous aviez «  tout simplement  », si je puis dire, réduit la force de corps de la police et l’interlignage du texte. Je considère le procédé comme doublement malhonnête. D’abord parce que vous n’avez pour autan