Les femmes tuent, les hommes pleurent


Réalité de l’homme pleurnicheur face à la femme délicieuse…

Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, à vos dépens ou avantages, dans tout groupe humain de plus de dix personnes, il y a une hystérique de service qui nous nous met son clitoris sur la table, ses tripes ou ses talents intellectuels que personne n’avait jamais aperçu jusque-là.

Eh oui, Sheila !!!
Personne n’ose broncher dans ces cas-là. La dame terrorise son monde avec ses connaissances, us et coutumes ancrés dans des cénacles improbables, une tribu de fanatiques d’un seul auteur fétichisé et s’injectant du poivre et de l’héroïne directement dans les synapses pour éviter de trop réfléchir aux impératifs catégoriques idiots de la secte.

Les autres préfèrent se taire et espérer un monde rempli d’abeilles et de jolies fleurs que même un althussérien se mettrait à lécher s’il savait au moins marcher à quatre pattes plutôt que ramper depuis ses tendres années de soixante-huitard nonchalamment rendu à ne défendre que l’aile modérée du PCF en s’abreuvant d’amphétamines pour y croire encore un peu entre deux palpations des cuisses estudiantine de la jolie étudiante encartée au MJS.

L’hystérique appelle la paix à tout bout de langue. Elle invoque le silence. Elle invoque la science avec le double ‘s’ actif des circonvolutions organiques d’un continent dirigé par des pitres incultes. Des gueuses. Gagner aussi peu de temps de remise de peine pour s’en laisser conter par un folle-dingue n’a pas plus de saveur que savonner les amygdales de Bobby-Swing, mon caniche amoureuse des pimbêches formées sur les bancs la queue de la fac.

Pour retomber à plat, les ventres mous m’invoqueront le machisme, l’inégalité de principe. Mais oui, bien sûr…

Hommes et femmes ne seront jamais du même monde psychique et social. Rien de mal à cela. Les femmes sont des tueuses coquettes ; les hommes sont des tendrons bercés dans les langes de leur mère de toute éternité.

Les femmes-soldats sont employées dans les commandos de tueurs dans les meilleures armées du monde ; les hommes n’en finissent jamais de pleurnicher s’ils ont donné un coup de canif sur l’épaule de leur pote.

LSR

 

 

 

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