Aux euromaniaques, eh bien rampez maintenant ! (extrait)


Sans vergogne, Le Serpent rouge renvoie à citation de ce qu’il écrivit en date du vendredi 29 août 2014,  in « En finir avec la domination, les illusions et l'espérance ». Les maniaques de l’Europe-Reich s’en sont donnés à cœur joie cette semaine. Fort heureusement, le Tour de France, édition 2016, c’est D-day. Chroniques à suivre…



« Les personnels politiques ont compris qu’il leur fallait créer des normes à leurs mains et des institutions transcendant leurs propres pouvoirs afin de les transmettre. L’avidité est une seconde nature chez le représentant. Et c’est pourquoi ces héros euromaniaques ont boursouflé leurs egos jusqu’à saper la paix en détournant les principes d’humanité dans le besoin de représenter autrui au nom de leur supposée supériorité. Certes, m’affirmerez-vous, la représentation est nécessaire puisque toutes les institutions humaines ont toujours été fondées sur ce principe. Je vous réponds d’un mot : oui, mais à la seule condition qu’elle soit à son tour érigée sur un mandat impératif et tournant, accordant une délibération générale et même inefficace s’il le faut. A défaut, que les infirmes périssent dans les poussières de l’histoire de leurs rapports étiologiques entre eux de songer, ne serait-ce qu’un instant, nous gouverner depuis des lustres ternes (…) ».









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