Kurt n'est pas mort de "bonnes paroles"


Une claque sur l’infini des amours morts.

Tenez, lecteur et lectrice réunis dans la prière du Serpent, je vous en conte une sacrée. De celle qui fera éclater de rire Isabelle de Choisy, Sandrine du Béton et d’autres échevelées entre stupre et seringues à GPA à l’arrache dans les vastes ruelles du grand monde.

Ce soir, j’ai reçu un uppercut en pleine face. Il se pourrait, me dit-on, que je diffuse des « bonnes paroles ». Moi !? Voui-voui

Kurt Cobain aussi s’interrogeait aussi le 20 novembre 1998 sur ses bonnes stances, soit deux jours après l’enregistrement de son excellent Unplugged in NY. Souviens-toi à cet instant de Cris Kirkwood sur Something in The Way, Plateau, Oh me… Le jeu de Kurt, certes, mais l’intensité de la mort qui s’annonce dans l’apogée du toucher des cordes au rythme des riffs légers de Kirkwood le si discret.

Héloïse connaît tout cela par cœur du vibrato. Elle qui demeure capable à un si jeune âge de faire ciller deux, trois interprétations de Stairway to Heaven selon son humeur du moment, selon sa forme.

Reste que la longue veste de laine grise de Kurt dégoulinait de transpiration après que ses doigts saignaient, ses cordes de guitare acoustiques explosaient.

Je ne critique plus rien. A quoi bon… à qui sert une critique aiguë ?
A rien.
Pour qui… à rien.

Come doused in mud
Soaked in bleach
As I want you to be
As a trend
As a friend
As an old-
             Memoria

LSR

 

 

 

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