La colère est une réaction, ou de la guerre telle qu'elle se dessine exprimée à une lycéenne
Correspondance avec une jeune fille,
lycéenne de son état, sur la situation nauséeuse sécrétée par les fascistes
islamistes (extraits
du 24 courant).
(…)
Je
te l'évoquais l'autre jour, la "fête"
et la pseudo-résistance en se rendant aux terrasses restent l'ânerie conjuguée
de l'année avec le dernier disque de (…) une inconséquence de plus dans l'attitude
bêlante des bipèdes humains.
Lisant
un peu la presse à mon réveil tard ce matin (j'ai travaillé toute la nuit), j'ai lu avec stupéfaction que des
gens, durant les attentats du 13 novembre, plutôt que d'aider les blessés ou
organiser un semblant d'ordre pour faciliter le travail des secours et de la
police, préféraient prendre des photos et faire des films avec leurs smartphones
qu'ils cherchaient à vendre aussitôt à des journalistes. Infect !
Certains
de ses voyeurs-vendeurs ont été remarqués s'approchant près des
cadavres pour les photographier sans aucun respect, sans aucune pudeur, sans
une once d’humanité altière. Trois fois
infect !
Panique
dans la multitude, ce sont les mêmes qui achètent des drapeaux tricolores, qui
se précipitent à République, se mettent en scène dans la tragédie qui motive provisoirement
le vide sidéral de leur misérable existence un tant soit peu honnête et
construite sur d'éventuels fondements intellectuels. L'homme reste un imbécile heureux-malheureux.
Heureux de s'enfoncer dans le voyeurisme et malheureux par la douleur à peu de
frais de l’autre, cette douleur exhibitionniste feinte comme celle des
pharisiens qu'ils sont.
Pire,
le patron et l’entourage immédiat d’une pizzéria où il y eut 5 morts, dès la
nuit, cherchaient à vendre les vidéos de leur commerce à des journalistes-voyeurs
et aussi larves que les quidams pataugeant dans les flaques de sang à la recherche du cliché pour leur porte-monnaie . C'est "Le petit journal" de Y. Barthez qui
a lâché le morceau hier soir en montrant un reportage en guise de preuves.
D'après ce que j'aie pu lire sur le site du Figaro,
le restaurateur a vendu 50.000 euros le film "cracké" par un informaticien de ses amis.
Une
étrange répulsion me parcourt les sangs. C'est une balle dans
l’esprit : Les corps tombés sont
encore chauds, le sang n'est pas encore nettoyé dans la rue que des gens ne pensent
qu'à l'argent et aux petits profits spéculatifs qu'ils retireront de leurs
images ou sons.
Pire,
l'insane journal anglais, The Daily Mail,
a acheté les droits exclusifs de photographies prises dans la salle du Bataclan
où les morts et agonisants baignaient dans leur sang. Est-ce cela le
journalisme ? Est-cela la vérité de l'homme ? Sont-ce des victimes, sont-ce des
intervenants des forces de l'ordre public qui ont vendu ces photographies ?
Réponse incertaine : il faudrait sanctionner ces marchands.
Telle
est la sombre "nature"
humaine d'aujourd'hui : insignifiante, sous-cultivée, imbécile en politique,
ignorante de l'histoire et de la littérature mais si habile à vendre, vendre et vendre encore. Honte sur eux !
Le
même pizzaïolo, non dénué d'hypocrisie et muflerie, s'en allait devant les
caméras pleurnicher sur le trottoir, puis inviter, avec d'autres, les bobos du
Paris-branché à "résister" en
venant boire "des coups" en
terrasse... quand il négociait quelques minutes avant dans sa cave pour faire
grimper le prix de ses vidéos. Il a montré son vrai visage, à l'enseigne de
nombreuses personnes de son genre : avide d'argent, menteur, tricheur... un
bobo-beauf bon à ce qu'on lui botte cent fois le derrière tel un sale gosse puni qui
aurait craché sur notre patrie. Il mériterait la liquidation judiciaire de son
commerce de pizzas surgelées à 18 euros.
Jeune
H., sache-le, ne t'en laisse pas compter de tous ces bobos qui vont allumer des
bougies, qui nous ordonnent par médias interposés de nous baigner dans les
sucreries "amour et paix"
en ces temps, de ces artistes vendus au capital-spectaculaire qui nous réclament de venir à leurs
spectacles poussifs et commerciaux sans intérêt.... la plupart sont déterminés
à se faire "dorer" de l'image publique dans le but direct de remplir
leurs comptes en banque sur la misère morale et la guerre. Au même titre que
les opérations de télécharité sur les maladies, les catastrophes, les Miss
France, Monde et régions du terroir où le cul des Miss de campagne sont tâtés à
l'image des vachettes du salon de l'agriculture. Pitoyable, trois fois dégoûtant !
A
Saint-Denis, même dérive de ces "résistants"
du Loft-France-TV... des types dans
la rue en grand nombre tentaient de vendre leurs images prises depuis leurs téléphones
morbides à des confrères valeureux si fiers de "tomber sur l'événement" et si contents d'avoir quelques billets au fond des poches pour rétribuer ces collabos d'occasion.
Rien
ne peut plus nous surprendre depuis pas mal d'années. Depuis le 13 novembre,
tout surgit de ce qu'est la France contemporaine : un cosmopolitisme vaseux,
des communautarismes devenus tribus, un désarmement moral et intellectuel enfoncé
dans la boue du Reich-euro et tout le matérialisme de la chose et sa possession.
Les
gens sont accrochés à leurs écrans de poche (smartphones) et téléviseurs comme des ébahis tombés dans la pâte
chocolatée frelatée à l’huile de palme et aux nounours qu'on leur tend tous les
soirs dans les infos du JT de 20h... à croire que la science infuse de leurs
écrans (et leur art du pouce sur les
touches) devrait les abreuver de toutes les interrogations que leurs
intelligences de primates ne saisissent pas. Ils sont broyés par l'image et la doxa dictatoriale de la déraison commune
transmise à la fois par la presse en folie, les politiques démunis et la vision
à court-terme de l'histoire en branle, de l’histoire très vaguement étudiée à l’école
au profit des anecdotes mémorielles.
Les
fascistes islamistes, comme leurs jumeaux noirs, verts et jaunes par ici, sont
façonnés dans une idéologie programmatique de destruction générale pour fonder
un ordre archaïque de la tribu et de l'Empire du Bien obligatoire pour tous. Le
djihadisme est né au IXe siècle (pas en
2002, selon les eunuques des écrans qui le balbutient à longueur d'antenne) et
s'est épanoui sur la violence et la barbarie pour terroriser les populations
qu'il fallait coloniser politiquement : étaient prescrites les mains et têtes
tranchées. Ainsi, depuis lors, des religieux de l'islam se sont alliés à des
rois, princes et féodaux divers, ce que l'on a appelé les ommeyyades entre les
IXe et XVe s., ou union entre le politique et le droit religieux musulman. Par
exemple, l’émir Al-Saoud, a fait alliance en 1745 avec des écoles juridiques
littérales de l'islam : cela a abouti au wahhabisme. La dynastie des Al-Saoud a
fondé l'Arabie Saoudite sur la triple conjonction dans le temps entre justement
cette alliance avec les fondamentalistes dans les décombres de l’Empire ottoman,
les tactiques dans les années 1920-30 avec/contre l'Angleterre (notamment en 1938 après qu'ils eurent
découvert les premiers gisements de pétrole) puis une aide et alliance objective
avec les nazis.
D'un même mouvement un peu plus tard, dans les années 1930-1940, en Egypte surtout, les Frères musulmans se sont construits idéologiquement et politiquement dans des actions convergentes et aides financières (et politiques) avec le parti nazi. Après la guerre, de nombreux cadres de la SS, du NSDAP et plus simplement du régime régalien allemand (mais aussi des littérateurs français pétaino-ésotériques, notamment Guénon, ou encore Evola pour les italiens), se sont "convertis" à la religion musulmane, religion sécularisée dans le/la politique proche de leurs idées communes de mener toute politique par la violence pour le gain des héros "purs et durs" censés former l'élite chevaleresque (tribale) destinée à abattre les Lumières, la raison politique, le développement des droits libéraux. Les Frères musulmans, secte puissante et secrète, dominent l'idéologie de tous les ennemis d'aujourd'hui, sache-le, dont AQMI, Etat Islamique, Al-Nosra, Boko haram, Al-Qaeda et les groupes au Pakistan, en Russie...
En France, ces fascistes islamistes sont majoritaires au sein de l'UOIF (pour "Union des organisations islamiques de France") installés par Sarkozy aux manettes, puisque c'est la branche française des Frères musulmans, ceux-là même qui organisent le grand raout annuel où les écolos, le PS, l'UMP et tous les autres vont se prosterner : c'est le fameux RAMF ("rencontre annuelle des musulmans de France") du Bourget qui réunit plus de 100.000 fidèles. Pour rappel, les Frères musulmans, comme le wahhabisme en Arabie Saoudite, préconise : la lapidation des femmes adultères, voire plus simplement si elles ne respectent pas la dissimulation certains attributs de leur corps selon des prescriptions aléatoires qui relèvent des herméneutes du moment; la décapitation des journalistes et des militants des droits et libertés publics, les poètes un peu critique de la figure grondeuse d'un dieu chimérique. Plus de 160 décapités recensés officiellement en Arabie Saoudite pour les dix mois de 2015...Sarkozy, Hollande les ont dans le coton de leurs juteux marchés d'avions de guerre, d'armements, de centrales électriques, etc. Toujours le fric, l'argent, le cash... surtout la cécité politique internationale de bon aloi, bien entendu, tant que le cash joue son flow dans les caissettes de l'Etat et de quelques entreprenants zinzins (les "investisseurs institutionnels", comme on les mentionnait auparavant dans les manuels d'économie politique).
D'un même mouvement un peu plus tard, dans les années 1930-1940, en Egypte surtout, les Frères musulmans se sont construits idéologiquement et politiquement dans des actions convergentes et aides financières (et politiques) avec le parti nazi. Après la guerre, de nombreux cadres de la SS, du NSDAP et plus simplement du régime régalien allemand (mais aussi des littérateurs français pétaino-ésotériques, notamment Guénon, ou encore Evola pour les italiens), se sont "convertis" à la religion musulmane, religion sécularisée dans le/la politique proche de leurs idées communes de mener toute politique par la violence pour le gain des héros "purs et durs" censés former l'élite chevaleresque (tribale) destinée à abattre les Lumières, la raison politique, le développement des droits libéraux. Les Frères musulmans, secte puissante et secrète, dominent l'idéologie de tous les ennemis d'aujourd'hui, sache-le, dont AQMI, Etat Islamique, Al-Nosra, Boko haram, Al-Qaeda et les groupes au Pakistan, en Russie...
En France, ces fascistes islamistes sont majoritaires au sein de l'UOIF (pour "Union des organisations islamiques de France") installés par Sarkozy aux manettes, puisque c'est la branche française des Frères musulmans, ceux-là même qui organisent le grand raout annuel où les écolos, le PS, l'UMP et tous les autres vont se prosterner : c'est le fameux RAMF ("rencontre annuelle des musulmans de France") du Bourget qui réunit plus de 100.000 fidèles. Pour rappel, les Frères musulmans, comme le wahhabisme en Arabie Saoudite, préconise : la lapidation des femmes adultères, voire plus simplement si elles ne respectent pas la dissimulation certains attributs de leur corps selon des prescriptions aléatoires qui relèvent des herméneutes du moment; la décapitation des journalistes et des militants des droits et libertés publics, les poètes un peu critique de la figure grondeuse d'un dieu chimérique. Plus de 160 décapités recensés officiellement en Arabie Saoudite pour les dix mois de 2015...Sarkozy, Hollande les ont dans le coton de leurs juteux marchés d'avions de guerre, d'armements, de centrales électriques, etc. Toujours le fric, l'argent, le cash... surtout la cécité politique internationale de bon aloi, bien entendu, tant que le cash joue son flow dans les caissettes de l'Etat et de quelques entreprenants zinzins (les "investisseurs institutionnels", comme on les mentionnait auparavant dans les manuels d'économie politique).
La
France est exsangue. Nous sommes à genoux. Nous faisons illusion avec un
porte-avion, des bougies et perquisitions administratives. La nation, pourtant,
doit s'armer de souveraineté pleine et entière, d'indépendance et de liens
internationaux fondés sur des accords bilatéraux ponctuels, de rupture avec la
Reich-Europe sous hégémonie allemande. La nation doit en finir avec la suspension (depuis 1997) du service militaire pour
les filles et les garçons, doit régénérer le retour d'une école nationale
forgeant des esprits non-producteurs sachant lire des textes, tous
les textes, sachant les interpréter, sachant écrire, sachant compter,
raconter et décrire, conter des poèmes. La France doit sonner le signal de la fin des religions subventionnées
par l'Etat, toutes !, de l'interdiction du voile, de la kippa, de la croix et
toutes les babioles idolâtres dans l'espace public. Enfin, comme en Israël ou en
Suisse, il faut que chaque citoyen soit formé à l'art de la guerre et à l'art
du commentaire de texte et de la dissertation. Tous
les rebouteux de la calotte et de la bougie, tous les trafiquants de drogue et
d'armes non français doivent être éjectés de nos frontières, y compris de Mayotte.
Il faut en finir avec le culte de la fête. La fête, la seule, est celle de l'intelligence collective. Je passe les éléments : tu les dénicheras pour commencer dans les discours de de Gaulle, dans le programme du Conseil national de la résistance...
(…).
Il faut en finir avec le culte de la fête. La fête, la seule, est celle de l'intelligence collective. Je passe les éléments : tu les dénicheras pour commencer dans les discours de de Gaulle, dans le programme du Conseil national de la résistance...
(…).
Voilà,
H., plus haut tu as reconnu quels sont nos ennemis qui veulent nous détruire :
les deux faces d'une même médaille.
La
guerre sera donc longue, au moins dix-quinze ans. Elle sera dure. Déjà existante au
plan économique et social, structurellement s'entend, le Quatrième REpartage du monde n'en finit pas de
grossir les rangs de ses victimes. Elle démarre crescendo pour l'heure. Esprit de Jean Moulin, reviens vieux & noble Frère tombé entre les colonnes.
Haut
les cœurs, H. ! Tu as la chance d'être lycéenne : le travail d'apprentissage, je ne
vois raisonnablement pas quelle peut être la meilleure des fêtes. Oui, ta
guitare, bien entendu, pour le doux sifflet des dieux des rimes sonores...
Je
te souhaite de travailler, de lire tout ton saoul la littérature instructive et
l'histoire qui émancipe (...).
LSR
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