"Landerisation" des régions par le banditisme corse, par Patrice
Terre d’intégrisme.
La Corse devient
à l’évidence une verrue sur l’image républicaine de la France.
Aujourd’hui laissée à l’aventurisme, pacifique depuis peu, d’ex mafiosos
adeptes de la combine et du profit sonnant et trébuchant mais en vase très
clos, voire familial, voilà ce territoire fermé hermétiquement à la démocratie.
De département, l’île est devenue territoire quasi-autonome
dans ses principes. Ainsi, elle ne reconnaît plus la France comme territoire
référent à laquelle elle appartient. Ses nouveaux maîtres quasi-autoproclamés
n’en reconnaissent plus la langue, les lois et entendent appliquer celle du
sang à celle du sol.
Depuis longtemps déjà autarcique dans ses
comportements, ses choix et son ressenti, le
département français se veut aujourd’hui indépendant de la République dont il
partage pourtant la péréquation.
On sait d’où et pourquoi vient le nationalisme. On sait
aussi pourquoi et jusqu’où il peut aller.
Ses comportements et bravades outranciers et
provocateurs en font un sujet de détestation mûrement recherché. Aujourd’hui
qu’il obtient ce que certains ont toujours voulu, c’est toute une population
qui se retrouve soumise à des
extrémismes identitaires que ne renierait pas Daech.
Le terrorisme larvé a depuis longtemps pris le pas sur
le culturel et l’identité régionale au profit d’œuvres et de manœuvres dont on
devine depuis longtemps les finalités mafieuses relayées par les thèses
d’extrême-droite.
La mise sous la botte d’une partie du territoire
national et des ressortissants restera-t-elle sans réaction de la part de
l’Etat souverain et tutélaire ?
La France
acceptera-t-elle d’avoir à sa porte et dans son giron une partie de son
territoire livrée et dédiée au banditisme et au non droit républicain ?
S’ils veulent l’autonomie, qu’on la leur donne !
Et s’il faut s’en débarrasser, qu’on la vende ! Le Qatar ou l’Arabie
saoudite seraient peut-être intéressées, ce qui ne manquerait pas d’être “drôle“ touchant des dirigeants qui ont
toujours clairement affichés leur racisme anti-arabe (« Arabi fora ! »).
Ou laissera-t-on une partie de la population corse,
donc française, sous contrôle d’apparatchiks xénophobes ?
Patrice C.
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