Les politiques...à la niche, couchés, dehors !


Peur sur la vie

 
Que vont-ils encore nous "pondre" ? J'en tremble ! Je flippe ! Je deviens parano ! Les annonces en cascades de décisions, de lois, me font peur : laïcité, PV de stationnement, école… j'ai vraiment peur ! La boîte à méfiance est grande ouverte, comme celle de pandore, bien sûr.

Ailleurs, dans d'autres pays, c'est pas mieux… Ils se distinguent dans la médiocrité, l'apparent, le carton-pâte, le cosmétique, l'illusion. C'est la grande manipulation. Ils vont même jusqu'à faire la guerre… pour le bien ! Imaginez : la guerre pour le bien ! Ils se mêlent de tout et bien sûr de rien. Ils se donnent l'impression d'exister. S'il s'agissait de catastrophe naturelle, on se demanderait ce que l'on a fait pour mériter "ça". On finirait, comme dans ces cas extrêmement graves, à s'en remettre à une divinité : mon D…, ma Mère, votre Sainteté, faites que ça s'arrête.

Tout ce qu'ils touchent et d'où qu'ils soient et où qu'ils prétendent aller, c'est le même scénario : porte grande ouverte aux catastrophes. ARRÊTEZ ! Tirez-vous ! Laissez-nous ! On n'en peut plus… L'angoisse chevillée au corps, on continue à fonctionner sur le mode automatique, faut bien. En quoi pourrions-nous encore croire si seulement cela pouvait nous aider ? On cherche… On ne trouve pas. Pas encore… Des années que ça dure, des années qu'on marche dans la combine, qu'on cautionne, qu'on avalise, qu'on se trouve des excuses. Mais là, STOP ! On n'en peut vraiment plus de les voir simplement exister et occuper l'espace médiatique qui leur est exclusivement réservé. Faire une autre radio, une autre télévision, d'autres journaux, je rêve…

De tous les bords, bleu, blanc, vert, rouge (ou ce qu'il en reste) ils déshonorent, démolissent. En fait, ils sont en marche arrière. Vous pariez qu'ils vont trouver des explications ? Toutes plus oiseuses les unes que les autres. Un œil pour la route, l'autre sur les sondages, et encore… s'en foutent des sondages : j'y suis, j'y reste ! Ils se posent là ! Regardez-les à la télé… JE suis ! Vous, vous pouvez juste regarder. Ecouter c'est déjà un calvaire, une pitié ! Le député marcheur qui le dit aussi : une situation prérévolutionnaire (voir note ci-dessous) ! Un rejet maousse, gros commac ! Une errance quasi désespérée. Le grand ménage, s'il doit avoir lieu, va avoir une double et superbe ocase d'être fait : en mars et mai. À LA NICHE ! COUCHÉS ! DEHORS ! Allon-z’enfants… Oh, on va pas ressortir la veuve, la grande ! Imaginez le fleuve de sang… La Seine, fleuve de sang. Pire que la Commune… Les phrases, les miennes, les autres, ne suffisent plus. Nombrilisme ! Narcisse ! Les mots ne tuent pas (plus), au mieux ils enterrent. En fait, en berne. Bas les cœurs ! comme disait Darien.

Bon, c'est pas tout ça, faut bien vivre… A plus !

Patrice C.
 
NOTE :
A propos du député marcheur, billet paru dans LSR le 12 août dernier :
 
PETITS RAPPELS DE CONSTATS PATRICIENS SUR LA POLITIQUE, en vrac...
Blues, blanc, rouge, la politique des grands singes : http://atelierserpentrouge.blogspot.fr/2013/11/blues-politique-par-patrice-c.html


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