Des censeurs de "gôche" sur le blog de Médiapart


Chasse aux sorcières à Médiapart.

La blogosphère médiapartienne et policée a encore sévi. Fort de son potentiel dûment fabriqué et sûr de ses prérogatives infatuées, elle a émis un avis de désapprobation quant à la participation, par elle non décidée, de certaines personnes à un débat d'intérêt collectif.

C'est ainsi que Pierre Rosanvallon se voit discriminé et à qui l'on dénit toute autorité représentative d'une pensée de gauche parce qu'il ne participe pas d'une chapelle messianique par un conglomérat de "bons" penseurs autoproclamés. Nous avons même droit à une liste non exhaustive de treize personnes, pourtant dignes d'intérêt, que l'on réfute sous prétexte d'humour au deuxième degré.

On en est donc, à Mediapart, à faire des listes éliminatoires et diffamatoires de ce qu'est la reconnaissance autorisée et incontournable d'une autorité intellectuelle pourtant acquise de longue date et avec références, sauf pour une secte qui se veut, se dit et se prétend de référence.Ainsi, il s'en faut donc d'une caution unanime, bien qu'étriquée, pour avoir droit de cité et d'autorité, fût-elle reconnue et avérée par le plus grand nombre.

Il faut vous dire que chez ces gens-là, Monsieur, on accorde et on distribue des brevets comme des certificats de baptême et que seuls les fonts baptismaux de la bien-pensance entre soi ont force de loi.

C'est donc après avoir expurgé les critiques faciles et tellement redondantes que caricaturales d'une certaine "gôche", que la majorité des lecteurs de Mediapart participera, n'en doutons pas, à une soirée aussi innovatrice sur le plan de la presse, qu'intéressante au niveau culturel, n'en déplaise à des résidus de bassins putrides qui se complaisent dans leur fange alors qu'ils croissent et profitent tels des chancres sur le dos d'une initiative réellement citoyenne.

Bonne soirée et bienvenue aux curieux dépourvus de préjugés.

Patrice C.

 

 

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Ce qu'est le syndicalisme libre & indépendant du macronisme-patronat

Aristote à Chartres (statuaire)

Malheur à toi permanent syndical de peu ! (tu ne sers qu'aux fiches policières)