La presse à Valoche dans les toubibs de rue


Misère d’une courtisane en blouse Dior.

Le monde bruisse de fureurs et de sang. L’actualité nous dévisage de ses crimes islamo-fascistes, des rapacités de la médecine de ville en ses picrocholines vivisections (*), du complotisme tous azimuts et d’une percée d’antisémitisme chez les jeunes gens, et j’en passe… et v’la-t-y pas, nom de diou, que la presse en folie coule son encre à propos de l’hystérique dame Trierweiler, ci-devant ex première copine de l’hôte de l’Elysée et sa gifle à un quidam en pleine brasserie.

O certes, la plupart des papiers s’inscrivent dans une veine ironique… mais tout de même.

On le savait depuis la gifle de mamy cocue à sa cop’ dame Sapin et son brûlot insipide qu’elle avale un peu trop le nougat dur direct dans l’œsophage. Pas la peine de la ramener sur la carpette mondaine.

La néo-multi-millionnaire du déballage de sa vie de couple se prend pour qui ? Habituée à toutes les servitudes à son endroit, à toutes les sollicitations durant son règne, v’la qu’elle casse le mou à tous ceux qui l’approchent.

Qu’elle retourne dans le bac à sable où elle n’aurait jamais dû briser sa pelle. Et si elle s’en allait faire causer d’elle en manifestant ce week-end aux côtés des toubibs, ces Sans-culottes de la révolution conservatrice ? On en serait bien marri.

LSR

 
(*) Les organisations de médecins, dentistes et autres faiseurs de blouses à euros tachés sur le dos de la Sécu., entendent lutter dans la rue. Non pas possible, est-ce la lutte finale ? Non, non, ils sont contre l’émergence, dès 2017, du recouvrement par prélèvement bancaire (après autorisation de l'assuré) qui conditionnera l'accès au tiers payant pour que tout assujetti soit remboursé de ses frais de soins.
 
 
 

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