Thierry Lepaon, la mafia CGT, syndicalisme voyou
Le 7 avril
dernier LSR avait perçu le malaise de fond de la boutique CGT. A lire ou relire :
A la CGT,
rien ne va plus…
une histoire
sans fin.
Vous vous gaussez,
nous nous gaussons,
ils se gaussent…
Thierry Lepaon est un homme affable.
Il est sans flegme, un femen du
syndicalisme de carrière pro. De ces
boutiquiers du dégrèvement historique. Un boutiquier du grand souffle, un
inique permanent du petit syndicat tricheur en nombre d’adhérents, à peine plus
important qu’une demie Licra, un tiers du PSG, un soupçon de participation au
grand brûlot du nouveau pacte hollandais…
Mais qui est ce Lepaon, au
fait ?
Paraît qu’il est – je cite – « secrétaire général
de la Confédération générale du travail », sise à Montreuil-sous-Bois,
Seine-Saint-Denis.
Une bricole ? Un clando ?
Un claque à filles ? Un commando de combat ?
-Ben,
nan, camarade, une orga syndicale…
-Mouais…
Le 6 mars dernier (je me gausse, tu te gausses), l'union
départementale CGT de Paris s'est alarmée après des propos de leur "patron" de la CGT livrés au journal
le Nouvel économiste : il
assurait qu’« il n'existe à la CGT
aucune opposition de principe face au patronat. L'entreprise est une communauté
composée de dirigeants et de salariés. Ces deux populations doivent pouvoir
réfléchir et agir ensemble dans l'intérêt de leur communauté ».
Certes, certes, Monsieur Lepaon,
l’homme est homme,
le salarié est salarié,
le patron est patron & le
salarié comme le patron sont des hommes.
Dans le grand univers, la « communauté » supposée est la
gageure idiosyncrasique de la volition perdue.
Nous sommes tous semblables, vous
avez raison, Monsieur Lepaon, ci-devant big
boss de la PME CGT…
Surtout devant la mort.
L’éternel, en la Maison du Père,
reconnaîtra les siens.
Amen.
LSR
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