Mon Houmpé, c'est la France vichyste au temps critique du fer
La droite
qu’on aime.
Vla
les bouseux de l’Houmpé, des troglodytes tout vêtus d’affiches électorales
passées du Chi, sexes apparents pour attirer la hyène et massues de tablettes oin-oin et twit-twit pour glaner des gentilles voix parmi les gnomes de la tribu
Françallemande.
L’Houmpé est une élite.
Y a le nain, le grand bordelais, le
minus voiturier du Mans et Xav’ l’assureur. Y a aussi Nath. la sauteuse à pieds
joints dans Passy et Nadine, la Lorraine.
Et pis, y a Brice de Neuilly,
Laurent du Puy et tout plein de p’tiots taquins attirés par les bulletins de
vote.
A l’Houmpé, on se masse et on se
turbe sous les tubes de Lolita, la femme du chef à la sèche de crécelle pour
femmes aux foyers du guilledou, pour mémés teintes de rose-fuchsia et mauve
tirant sur le Vichy à défaut de Saint-Laurent, pour faire bonne figure dans les
goûts historiques en quelques postulats algébriques condamnés à la Libération (des tondues ?) mais graciés aussi
vite pour la reconstruire à souhait, la spatule terrienne à fromages.
L’Houmpé, c’est aussi ça la France.
A ma droite, toute…
LSR
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