Parlementaires vérolés... les coller au mur ?, alors qu'ils portent déjà la honte en eux, par Patrice C.
Aux armes, citoyens !
Et ce n'est jamais un vain mot. Le moment est venu de
purger, de nettoyer cette porcherie qu'est devenue l'Assemblée nationale.
Pourquoi en attendre d'autres qui ne sauraient manquer de survenir… Quand faut
y aller, faut y aller !
Ce ne sera pas 1933, ce sera 92 (1700), cette fois il
faut la prendre cette Assemblée qui se dit et se veut nationale et
représentative. De nationale, elle n'a plus que le nom et elle l'usurpe ;
de représentative, je ne sais pas pour vous, mais pour moi, il y a longtemps
qu'elle ne me représente plus ! Et ce n'est pas prétention de ma part que
de me considérer être le seul capable, désormais, de me représenter et de me
défendre si nécessaire.
Que voulez-vous, qu'escomptez-vous de la part des
"ces gens-là" ? C'est
fini, N.I. ! Ouste, à la rue ! Après l'AN, il faudra penser très fort
au Sénat. Parce que là-bas aussi, ça doit être coquet !
Une « dir-cab »
payée plus de 9.000 euros par mois… et je ne connais pas dans le détail les
avantages induits, ça mérite qu'un peuple s'intéresse à ses mandatés et à ses
institutions.
Finies l'esbroufe, les contorsions en tous genres qui
expliqueraient les choses. Trop facile !
Totalement injustifié d'aller chercher midi à quatorze
heures. Il y a des institutions vérolées, des
vérolé-es par la même occasion qui sont les copains de coquins qui leur
font la courte échelle. POINT !
Mais qui, quels pays supporteraient une telle honte, de
tels affronts, de telles gifles ? Ne rien faire, c'est accepter d'être les
trous du cul du monde ! Les moyens ? Quand on en a eu besoin
historiquement, on les a trouvés. Alors, j'y ! Oserez-vous encore vous
regarder dans une glace et vous dire citoyens ? Avez-vous oublié même les
cours primaires d'Histoire de France ? Que sont vos souvenirs devenus ?
Soit alors, il faut marcher la tête basse, regarder ses
pompes, porter la honte comme une croix et fuir les étrangers de peur du
ridicule. Presque renier son pays, son patriotisme, l'amour et le respect de
son pays si bafoué. D'autant que la chose est entendue, définitivement. Que
pouvons-nous encore espérer ? Illusion, fumée… phantasmes et feux follets.
La procrastination nous a assez servie de viatique.
Qu'importe la cote de popularité des représentants politiques du pays, on ne
s'arrête plus à ça ! Ça, justement, c'était fait pour nous amuser, nous
enfumer. STOP ! Il n'y a plus
rien !
Patrice C.
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