A la guerre déclarée par les islamistes radicaux, on doit répondre par la guerre de terrain !


Abattre nos ennemis.


"Tout homme qu'on désarme est un prisonnier." Charles de Gaulle


Oui, nous avons des ennemis. Ce sont les fanatiques, les islamistes, les fondamentalistes religieux d’apparence molle et les durs dont les uns servent les autres.

Ceux qui défendent "ça" ne méritent aucun égard.
Oui, nous avons des ennemis. Ce sont parfois les garçons coiffeurs de la philosophie politique, de la non « pensée » politicienne qui ne traitent de leurs sujets qu’en ajoutant des tripes au sentimentalisme, de l’humeur compréhensive à des mesures, grandes et petites qui attaquent les conceptions premières de la liberté : le voile, la burqa, le niqab et tous les boubous de la discrimination des femmes, les grilles vestimentaires de leur abaissement pour orchestrer un prosélytisme politique de désir d’empire, et non une religion. C’est un prosélytisme, c’est leur drapeau qui court dans les rues.

Oui, nous avons des ennemis. Ce sont les hypocrites qui fustigeaient hier les journalistes de Charlie Hebdo parce qu’ils refusaient tout voile, tous les (a)gréments des religions pour ensevelir tôt ou tard nos libertés politiques et individuelles qui aujourd’hui les récupèrent honteusement. Certains même intentaient des procès que Me Melka devait assumer.

Nos ennemis, eux, ne s’embarrassent pas de couper les cheveux en quatre. Ils sont directs : tu es avec moi, tu te soumets à la charia et au Coran ou tu meurs.

Nos ennemis investissent un lieu, braquent une arme lourde sur un quidam et tirent… ils tirent même sur leurs proches, s’il le faut. Discute-t-on une arme sur la tempe ?

Car, qu’on ne s’y trompe pas, les troupes des guerriers d’Allah de l’Etat islamiste (n’oubliez pas, ils décapitent et jouent au foot avec les têtes !) s’affrontent parfois à la main contre les troupes d’Al-Qaida… mais ils s’unissent pour leur front commun.

Nos ennemis, oui, ils décapitent et jouent au foot avec des têtes, répétons-le : ces ennemis-là n’ont aucune humanité. En retour, ils n’ont aucune excuse et doivent en attendre aucune.

Il y aura des militaires morts, mais il faut engager une guerre sur le terrain, quartier par quartier, douar par douar dans le désert pour déloger et anéantir les troupes des islamistes, et ne pas se contenter de procéder à quelques attaques aériennes. Les chefs une fois capturés, il faut les conduire devant le Tribunal pénal international. Il faut couper les ponts avec les Etats lâches qui fournissent armes et argent aux troupes terroristes, aux groupes Al-Qaida, Boko Haram, de l’EI, mais encore sur le territoire russe et en Inde et Pakistan (entre autres).

Oui, nous avons des ennemis. Ce peut aussi être nous-mêmes quand nous cédons d’un pouce sur les principes de distinction radicale entre politique (fait public) et religion (fait intime).

Nous devons en finir avec nos vieilles lunes de compréhension fraternelle, humaniste et pacifique sur tout et rien, d’accommodement avec l’insignifiance de nos politiques et l’atomisation sociale qui en résulte.

La guerre, c’est cruel. La guerre tue. On nous a déclarés la guerre, nous devons la gagner. Question de survie…

LSR

 

 

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