Merci pour ce moment ta mère !, par Jean Johrès
Le retour de la vieille folle aux
"unes" et flashs.
Elle
est complètement chtarbée mémère Trierweiler. Complètement obsessionnelle. Comme
si on ne pensait qu’à elle…
Comme
si elle croyait qu’on se sent concernés de ce qu’elle pense avoir été son
malheur dont tout le monde se carre comme de l’an 68 où elle fumait sa première
pipe avec son poto de colo.
Tête
de pine, c’te mémère… s’embarrasser d’une telle harpie, voilà bien le cas
pépère Hollande, sa spécialité, depuis la rue de Solferino : la synthèse,
l’unité des contraires, les combinazione
et faire le ventre mou.
Elle
refait surface Valoche. Après son insipide bouquin (j’ai pas lu et lirai pas une merde pareille) qui a fait le bonheur
du dressement fiscal de l’édition, elle envoie ses copines annoncer un film… je
rêve, un film de son aventure de roturière dézinguée par un sauteur, certes
président de son état de décomposition avancée jusqu’à l’année dernière.
Moi,
j’aurais été un conseiller au président, là, je lui disais de la virer dix
minutes après son fameux twit’ contre Ségo lors de la campagne à la députation
de 2012.
Une
cinglée, vous dis-je. Virée par son mec, il lui faut pisser un livre avec ses
glaires intimes. Virée par son mec, il lui faut aller répandre son fiel dans
les médias étrangers et jeter sa bile pour ridiculiser l’homme qui, après tout,
endosse une fonction dont il est le garant en étant le représentant de son
peuple à l’étranger. Et maintenant ZE film. J’espère que les équipes
techniques et d’acteurs se ridiculiseront par leur CV dans le métier aussi vite
que ce film fera un bide sur les écrans.
Moi,
ce qui me plaît dans tout ce tartare règlement à la Birbibi au cœur des familles nobles du socialisme moderne à la
française, c’est la roue arrière du scoot de Hollande. Avoir subi des
freinages d’urgence, des roues arrières, des dérapages incontrôlés, d’autres
super contrôlés, j’en serais fier comme la main de Chirac recevant la petite
culotte de Madonna lors d’un concert.
Dans
la rue du Cirque la bien-nommée, il ne s’est rien passé du tout. C’est tout
juste l’histoire d’un petit gars heureux comme tout de s’échapper de son taff imposant
et de maman à la maison aussi stressante qu’une cantinière de Fort Knox… bref un
mec qui s’envoyait en l’air avec sa copine en échange de croissants chauds. C’est
pas cher payé le troussage, quand même. Rien que de très gentil et banal. Et l’autre,
la cinglée Trierweiler, elle nous pompe la presse et la radio pour une
bagatelle en espérant nous faire croire que la trahir, c’est trahir la France et
les Français. Mais les Français, ils s’en foutent.
Les Français voient les bijoux de famille vendus aux Allemands et aux Chinois. Les Français observent qu’ils n’ont pas plus de boulot qu’hier… La Valoche, qu’elle la prenne et se tire au soleil pour pas revenir et qu’elle fasse comme Zahia qui s’est trouvée un milliardaire pour faire moins pute pour footeux.
Le Parisien a produit sa une racoleuse du jour sur mémère, mais les pires, ce sont les agences qui nous expédient des dépêches urgentes, comme si le Concorde (qui ne vole plus) s’écrasait sur le Palais du Luxembourg (un mouroir de luxe XXL) : « urgent, urgent… V. Trierweiler… un film…et blablabla ». Tout ce bordel, ça me fait sortir de mes gonds et devenir ordurier à défaut d’être vulgaire, puisque la vulgarité est incarnée, c’est Valérie Trierweiler !
Les Français voient les bijoux de famille vendus aux Allemands et aux Chinois. Les Français observent qu’ils n’ont pas plus de boulot qu’hier… La Valoche, qu’elle la prenne et se tire au soleil pour pas revenir et qu’elle fasse comme Zahia qui s’est trouvée un milliardaire pour faire moins pute pour footeux.
Le Parisien a produit sa une racoleuse du jour sur mémère, mais les pires, ce sont les agences qui nous expédient des dépêches urgentes, comme si le Concorde (qui ne vole plus) s’écrasait sur le Palais du Luxembourg (un mouroir de luxe XXL) : « urgent, urgent… V. Trierweiler… un film…et blablabla ». Tout ce bordel, ça me fait sortir de mes gonds et devenir ordurier à défaut d’être vulgaire, puisque la vulgarité est incarnée, c’est Valérie Trierweiler !
Jean Johrès
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